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HAHAHA JE RP

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Tsuuky
Tsuuky
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Maitresse
Message par Tsuuky Lun 1 Oct - 17:52
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" Okaeri, Ophélia"


 
Feat. Ophélia Kurobane




   
Un fin sourire illumina son visage qui semblait, jusqu'à présent, très triste et soucieux. Elle était si mignonne, cette petite. Ce genre de blague débile la faisait sourire, comme si c'était encore qu'une enfant. Allais-je donc devoir la traiter comme tel ? Comme si c'était encore une gosse qui découvrait le monde ? Je ne savais rien de sa vie d'avant, ce qu'elle avait vécue. Peut être était-elle enfermée depuis toujours, peut être était-elle libre. De toute façon, tout cela n'avait plus d'importance, car sa nouvelle vie venait de débuter maintenant, auprès de moi. Je n'allais peut être pas lui offrir la plus belle des vies, mais je savais que je n'allais pas non plus lui offrir la pire. 

"Peut être un peu ... Je sais pas vraiment comment en faite,  un maître punie son esclave ... en faisant du mal sûrement  .... "

Vachement mon genre. Je ne me voyais pas lever la main sur elle. Et les punitions... Elle était une adulte, ça ne servait plus à rien de punir quelqu'un qui avait un cerveau assez développé pour se rendre compte de lui même s'il faisait une connerie ou non. La punition, chez les adultes, c'était simplement d'assumer les actes, les paroles... Assumer la vie qu'on avait en fonction de ce qu'on faisait. C'était ça, la vraie punition de la vie. Elle allait devoir le comprendre d'elle même... Mais vu sa situation, je pensais qu'elle le savait déjà, même inconsciemment. La différence, c'était qu'elle, elle devait assumer la merde des autres. Raison pour laquelle j'essayai de lui faire comprendre que son apparence n'était pas une punition même si c'était carrément difficile de lui faire croire. Alors autant la complimenter... Lui dire qu'elle était jolie, lui dire qu'elle était belle, mais si, en toute franchise, elle ressemblait à un putain de monstre sorti tout droit d'un RPG japonais bizarre, où les nanas se battaient le cul à l'air et les seins bien visibles pour faire bander les mecs en jouant. C'était bien dans notre culture, ça, il fallait l'avouer.

"Je... oups ... Je suis désolée." Entendis-je soudainement.

Je me tournai pour voir pourquoi Ophélia s'excusait. Elle avait visiblement fait tomber quelque chose. En voulant ramasser pour ranger, elle fit tomber d'autres choses, avec ses ailes. Mon Dieu de putain de merde. C'était à ce point là, qu'elle n'avait pas l'habitude de son corps ? Elle foutait carrément le bordel, là ! Quand bien même elle essayait de rattraper sa connerie, ça ne faisait qu'empirer. Aussitôt, je l'aidai à tout remettre en place avant de l’embarquer fissa à la caisse. Mon appartement était très spacieux, il y avait beaucoup de place, c'était parfait pour elle. Et surtout pour moi, si elle faisait la même chose à la maison, à mettre autant de désordre, j'allais vite devenir dingue avec elle. Mon appartement était aussi propre qu'un hôpital - voire même davantage -, c'était un endroit tout simplement impeccable du sol au plafond. Hors de question pour quiconque de venir y foutre le bordel. Bref, je payai le tout, après lui avoir annoncé de faire un tour chez le tailleur. Je n'attendais pas vraiment de réponse de sa part, pourtant...


"D'accord maîtresse ... euh, madame Ashley, je vais en prendre soin, vous les trouvez vraiment jolie ? Excusez moi, est ce que je vais devoir faire le ménage ? Ou autre chose ?"

Son innocence m'arracha malgré moi un sourire aux lèvres. J'hochai la tête une fois lorsqu'elle me demanda si ses ailes étaient vraiment jolies. Oui, sincèrement, elles étaient belles.

"Franchement Ophélia j'en sais rien. J'pense pas que tu puisses faire le ménages comme moi je le fais, on verra bien."

Par contre, fallait pas qu'elle me fasse chier à me demander constamment ce qu'elle pouvait faire. Elle pouvait vivre, c’était déjà ça, vivre comme elle le voulait à la maison. Si elle voulait rien glander, j'en avais rien à foutre. Si elle voulait passer ses journées à courir dans le jardin, j'en avais rien à foutre aussi. Si elle voulait m'aider à nettoyer... Bah ça, on verra. Une fois à la voiture, je lui ouvris la porte pour l'aider à s'installer dedans. Comme un guide, je l'aidai à plier ses ailes comme il fallait pour lui éviter d'avoir mal. Ainsi, elle les ferma sur ses épaules, comme une cape. En vrai, c'était trop classe. Quant à sa queue, je la fit passer entre ses jambes pour la laisser traîner au sol, légèrement enroulée pour ne pas qu'elle se prenne les pieds dedans. C'était comme ça qu'elle devait s'asseoir. Je lui souris.

"Tu vois ? Si tu t’assois comme ça, c'est bon. Faudra que tu fasses pareil la prochaine fois. Mets ta ceinture."

A mon tour, je m'installer coté conducteur avant de démarrer la voiture. Le trajet se fit en silence, me laissant bercer uniquement par le rugissement du moteur de ma Mustang. J'aimais beaucoup la vitesse, alors quand j'en avais l'occasion, je n'hésitais pas à appuyer sur la pédale d’accélération, pied au plancher. La voiture rugit de plus bel, accélérant rapidement. Nous arrivâmes chez moi, dans le quartier Shinn. Inutile de ranger la bagnole au garage, pour le moment, nous allions peut être sortir plus tard. Je l'aidai à sortir avant d'aller récupérer mes achats dans le coffre. Elle me suivit à l'intérieur du bâtiment et entra, avec moi, dans l’ascenseur. Je vivais au second, c'était bien comme ça. L’ascenseur s'arrêta, nous sortîmes pour nous rendre chez moi. J'ouvris la porte, les lumières s’activèrent aussitôt et une voix me souhaita la bienvenue à la maison. C'était un genre d'intelligence artificiel de maison, qu'on pouvait commander. Un peu comme google, sur les téléphones, là.

"Ouvre les volets." Ordonnai-je.

Grace à la reconnaissance vocal, les volets de mon appartement s’ouvrirent tout seul. Je retirai mes cuissardes et fis signe à Ophélia de faire de même. C'était coutume au Japon de retirer les chaussures en rentrant, mais avec tous ces étrangers, rappeler cette simple règle ne faisait pas de mal, surtout que je ne savais pas si Ophélia était japonaise ou non. Nous étions dans un hall d'entrée, il y avait largement la place pour y ranger nos chaussures et nos manteaux. Il y avait également des meubles où reposaient des photos de mon défunt fiancé et moi. Je n'arrivais pas à m'en débarrasser, alors je n'y touchais jamais, sauf pour les nettoyer. Je passai le hall d'entrée, suivie de mon hybride, pour arriver dans le salon.


"Viens, on va directement à l'étage, j'te montre ta chambre et tu pourrais visiter ensuite."

Docile, elle me suivit à l'étage. Les lumières s'allumaient tout seule à notre passage, avant de s'éteindre à nouveau derrière.


"Ma chambre est juste là, à droite, tu vois ? La tienne est à coté, collé à la mienne. Interdiction d'entrer dans ma chambre."

J'ouvris la porte de la nouvelle chambre d'Ophélia. Ca aurait du être la chambre de mon petit bébé. Hélas, la perte trop brutale de Roy entraîna une fausse couche. Je préférai ne pas y penser. La pièce était déjà équipée, il y avait un lit, un berceau contre le mur et des armoires pour ranger les affaires d'Ophélia. Je la laissai visiter pendant que je rangeai ses affaires.

"Je m'occupe de préparer ta chambre, ok ? Va faire un tour en attendant je te rejoins quand j'aurais terminé. Et s'il te plait, ne casse rien et ne déplace rien."

Codage by Littleelda from     Never Utopia


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Tsuuky
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Message par Tsuuky Lun 1 Oct - 17:53
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Une exposition et un bon verre
Avoir de nombreux vices étaient fort intéressant, même si Kato ne lui disais pas non plus de quoi il s'agissait. Mais Setsuna laissa pour le moment cette histoire de vice en suspend, non il fut surpris de savoir que le peintre avait eu dans l'idée de lui laisser une toile, c'était fort généreux de sa part, mais le blondinet était du genre à se dire que tout travail mérite salaire et il ne voulait pas retirer le pain de la bouche de Kato. Soupirant faiblement pendant un cours instant, il préféra mettre rapidement les choses au clair.

-Je ne te demande pas de m'en offrir une, je suis prêt à payer pour l'une de tes toiles. Après tout tu y a donné de ton temps et de ta sueur alors il est normal que tu récoltes le fruit de ta labeur. Alors donne moi ton prix pour n'importe laquelle de tes toiles et je te signerais un chèque après. Il lui fit un petit sourire avant de lancer le plus calmement possible.

-Au faite, tu peux me tutoyer tu sais. Oui le vous dans la bouche de Kato, lui donnait l'impression d'être un vieillard, pourtant il n'avait que 27 ans alors il n'était pas vieux. Et puis l'âge de toute façon n'était qu'un chiffre rien de plus.

Le regard du blond avait été l'espace d'un instant attiré par les traits noirs dessinaient sur la peau de Kato, il s'était penché vers lui pour le voir d'un peu plus prêt, mais le pull gêner un peu la vision des choses. Et il en se gêna pas pour le faire savoir, appréciant de voir le pull descendre le long des bras de Kato. Appréciant un peu plus le tatouage, Setsuna eut un léger sourire en coin, décidément même l'art sur la peau d'une personne était tout aussi agréable à regarder. Après avoir dessiner les contours du tatouage du bout des doigts, il se reprit et se remit convenablement assis sur la banquette, demandant ainsi à ce qu'il lui parle un peu plus de lui, enfin savoir s'il était juste peintre ou s'il exerçait une autre fonction à côté.

Les verres d'alcool défilant un à un, sans compter le fait d'avoir goûter à la cigarette asse spéciale de Kato, le blondinet se sentait légèrement sur un nuage, rajoutant à cela qu'il fumait quelques joints. Il restait quand même assez concentré sur la conversation et il fut surpris de savoir que Kato était serveur en plus d'être étudiant.

-Et bien si un jour tu cherches du travail, tu sais où venir! Oui il lui faisait bien comprendre qu'il pourrait trouver du travail ici. Après tout un serveur s'était toujours bon à prendre pour faire le service au table.S'étirant un peu il refusa la cigarette que lui proposer le jeune homme, et il porta son attention sur la piste de danse.

-Te déhancher un peu ça te dis? Sans attendre la réponse de l'individu, Setsuna partit en direction de la piste de danse, ne marchant pas vraiment droit mais il s'en fichait. Au pire le videur le ramènerait chez lui comme toujours. 

Une fois sur la piste il se mit à se déhancher un peu sur une musique plutôt bien rythmée, il était dans son monde dans son univers. Entre faire la fête ou dormir il faisait vite son choix, il n'aimait pas la noirceur de ses rêves, ni la solitude au fond de son lit. Ici dans son club, il se sentait bien et il ne se sentait pas seul, il pouvait oublier grâce à l'alcool, la drogue et la musique le vide dans son coeur et sa soeur qui l'avait abandonné. Mais Setsuna était fort bon comédien car il ne laissait jamais rien paraître de son mal-être. Dansant sensuellement au rythme de la musique, il se forgeait une bulle qui ne voulait pour rien au monde éclater.  Alors quand un homme vint se coller à lui pour danser, Setsuna ne se priva pas pour jouer avec l'homme, oubliant l'espace d'un instant Kato. Oui s'était mal mais il n'y pouvait rien s'il aimait énormément qu'on s'intéresse à lui et puis bon s'il pouvait repartir en charmante compagnie il n'allait pas non plus se priver.
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Tsuuky
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Message par Tsuuky Lun 1 Oct - 17:54
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ft.
Aslhey
Sofia
Bordel mais je fiche quoi ici?
Je n'avais vraiment aucune envie de rester dans cet hôpital, mais je devais me faire une raison, je n'étais nullement en état. De plus, j'avais complètement perdu l'esprit devant ce flic, mettant pratiquement mon identité à nu alors que je ne devais en aucun cas. Faire étalage de mon ancienne vie, je ne devais pas l'oublier Kamui Kondo était mort et enterré maintenant, j'étais Setsuna... Setsuna Godô. L'angoisse d'être dans ici m'avait complètement déstabilisé et des images m'étaient revenu en mémoire l'espace d'un instant. Assis sur le lit, je dévisageais les deux individus m'excusant auprès de la jeune femme et expliquant au flic que j'étais prêt à répondre à ses questions. Mon regard lui se perdit sur cette jeune femme qui malgré mon comportement odieux avec elle, était venue recoudre la plaie qui s'était ré-ouvert. Pour une fois, je me tenais tranquille, même si je ne me sentais toujours pas au mieux de ma forme. Le flic lui avait d'ailleurs déjà sorti son calepin et son stylo et se tenait prêt à m'interroger sur l'incident quand une interne arriva avec semble t'il  mes analyses... Assez intrigué, je regardais le combat qui se livrer, sous mes yeux. L'interne semblait vouloir tenir tête au médecin, et je compris bien vite que ma prise de sang ne devait pas être satisfaisante. 

Je ne pouvais que le deviner, mes nuits comme mes journées étaient assez souvent gorgée de drogue et d'alcool. Oui, je connais parfaitement le discours, c'est mauvais pour la santé blablabla... Mais je ne pouvais rien faire d'autres, je n'avais trouvé que cette méthode pour oublier, et avoir une vie plus ou moins normal. Même si mes nuits étaient courtes, ce doux mélange de liquide amer et de drogue me donnaient une sensation de bien-être. Même si mes nuits étaient courtes, ce doux mélange de liquide amer et de drogue me donnaient une sensation de bien-être. Je tournais un peu ce dernier pour réaliser que le flic était partie... Elle avait réussi à lui faire comprendre qu'il devait revenir un peu plus tard dans la journée, tout en m'expliquant qu'il aurait eu l'envie de me mettre au trou s'il avait su que j'avais le sang remplis d'alcool et de drogue... Grimaçant un instant en pensant à cette vision de moi au poste de police, je reportais mon attention sur elle et je soupirais faiblement avant de prendre la parole ma voix étant plus calme.

-Je ne doute pas un instant qu'il ait pu faire chier, en m’embarquant pour le poste... D'un côté, il n'aurait fait que son travail, mais je vous remercie de n'avoir rien dis.

Lui adressant un faible sourire, je me laissais bander sans faire de nouveau le con. J'avais vraiment du mal à me canaliser depuis que j'avais mis les pieds à Master Town, ma vie avait était paisible et agréable. J'étais un homme heureux, joyeux et agréable à vivre... Maintenant, j'étais tout le contraire, un connard, arrogant qui se foutait royalement de malmener son prochain. Et mon médecin en avait fait les frais, et pourtant elle était encore là. M'apportant un verre d'eau et une barre de céréales, je pris le tout en l'écoutant.

-Pourquoi vous faite ça ? Lui dis-je de manière assez surprise... 

-Je veux dire, je vous ai littéralement envoyé sur les roses, alors pourquoi soudainement vous êtes aussi gentille ? 

Prenant une gorgée du verre d'eau, j'ouvris la barre de chocolat que je mangeais sans me presser. Je réfléchissais un instant à sa proposition pour la tisane, je n'étais pas vraiment un grand fan de ses boissons chaudes, mais si elle pensait que ça pouvait me faire du bien pourquoi pas.

-Cette tisane n'a pas l'air mauvaise, je veux bien la goûter. Mais tu ne devrais vraiment pas perdre ton temps avec moi... Je suis sûre que tu as d'autres patients bien plus intéressant qu'un minable comme moi.

Elle avait l'air vraiment très gentille, et elle semblait vraiment se soucier de moi... Mais je ne méritais vraiment pas l'attention qu'elle me portait. Je ne voulais pas lui faire perdre son temps, il y avait bien plus intéressant et surtout des cas bien plus grave que moi dans cet hôpital alors elle devait prendre son temps pour eux, et non pour un drogué et alcoolique qui depuis le début avait bien fait comprendre qu'il ne voulait pas de soin... Essayant de m'allonger un peu dans le lit, car la tête me tourner, je posais mon verre et la barre de céréale entamée sur la table de chevet. Fermant un instant les yeux, j'essayais de calmer cette sensation de vertige qui me donnait l'impression d'être sur un bateau, l'espace d'un instant, j'en oubliais Sofia. Ne prêtant pas vraiment attention à la jeune femme qui avait sans doute quitté la pièce pour faire cette fameuse tisane.

La pièce était de nouveau dans le calme complet quand j'entendis la sonnerie de mon portable, soupirant, je fouillais un peu dans les affaires qui avaient été posées sur la table de chevet, mettant enfin la main sur ce dernier, je décrochais.

-Allô !

-Patron, vous allez bien ? Les flics m'ont traîné au poste de police pour que je puisse faire ma déposition.

-T'inquiètes pas, je suis toujours en vie, par contre retourne au club remet tout en ordre... Et quand je t'enverrais un sms, tu viendras me récupérer à l'hôpital, car je n'ai pas ma voiture.

-Pas de soucis, je m'occupe de tout. Et puis ses connards ne viendront plus nous emmerder patron, ils ont compris, je pense... 

-J'espère bien ! Pas envie de me retrouver de nouveau ici. Ciao. Raccrochant, je posais mon téléphone sur la table. Mon regard se posant sur la jeune femme qui était de nouveau présente, cette fois-ci avec de la tisane. 

La prenant en main, j'en humer un instant le contenu. Les arômes de cette tisane me rappeler énormément quand Sara en faisait elle-même... Soupirant, je posais la tasse devant moi, pour la laisser un peu refroidir, puis je m'intéressais un peu plus à cette femme en face de moi que je trouvais fort intrigante.

-C'est rare de voir un médecin comme vous dans un hôpital... Vous n'avez pas vraiment le style de l'emploi, vous me faites surtout penser à une poupée gothique qu'on aimerait avoir derrière un objectif pour jouer les mannequins... Lui dis-je en lui adressant un petit sourire.

Qu'est-ce qui vous a poussé à devenir médecin ? Oui, je jouais un peu les curieux, mais disons que s'était une manière comme une autre de briser la glace, et de montrer que je n'étais pas qu'un odieux personnage. Même si elle était en droit de refuser de me parler après la scène que j'avais faite juste avant.
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Message par Tsuuky Lun 1 Oct - 17:56
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Avec mes chers amis Avery & Colin De Vere
Disons-nous adieux comme nous nous aimons
Cet amour indescriptible qu’il avait pour sa Reine, la seule femme qu’il avait aimée parmi toutes celles qu’il avait rencontrées, l’avait laissé glisser, perdu, le long de l’entrée du tunnel. Tous les éléments du décor lui avaient semblé tellement étranger dans ce monde qui était pourtant le sien. Elle lui avait redonné l’usage de la vue en couleur, faisant resplendir la forêt sombre aux animaux aussi particuliers les uns que les autres. Quittant ce bateau qui ne savait dompter la mer déchaînée de son cœur, il retourna sur un terrain qu’il maîtrisait beaucoup mieux en compagnie de sa Reine, guidant leurs pas sur un mince sentier, protégé par des règlements précis. La punition saurait le redessiner sous leurs pieds. 

Le petit cri de surprise qui fit vibrer les cordes vocales de sa perle propagea un frisson le long de son échine, procurant à son âme la satisfaisante sensation de dominance. Plus que tout, il voulait qu’elle fasse vibrer son être entier de sa douce voix. Le sourire ravi qui se dessina sur les lèvres roses de la magnifique créature sous lui aspira le stress qui avait activé sa pompe cardiaque. Maintenant, cette dernière était stimulée par les agréables sensations qui réchauffaient son corps. La réaction qui suivit fut des plus satisfaisante. Ses yeux se délectèrent de la voir se cabrer ainsi. Sans compter le délice qui suivit : la courte plainte aigüe qui fit vibrée son tympan. Une excitation sauvage montait en lui, trahie par la morsure qui suivit. Par contre, étant un animal d’intelligence, il patientait, savourant chaque message transmis par ses influx nerveux. Ses lèvres étaient toujours étirées en un sourire sauvage, tandis qu’il admirait sa soumise lorsque le cuir vint claqué contre la peau de celle-ci. Yurushi avait toujours aimé ce bruit, mais encore plus voir la réaction qui le suivait. 

Ensuite, il l’amena à s’asseoir sur le lit avant de lui ordonner d’aller choisir l’accessoire qui servirait à sa punition. Il regarda son déhanchement régulier créé par ses pas qui se dirigeaient vers le coffre qui se trouvait dans un coin sombre de la chambre, qui n’était éclairée que de la lumière grise provenant de l’extérieur. Sans quitter cette magnifique silhouette des yeux, après avoir déposé sa cravache, il alluma une chandelle mauve qui se trouvait sur sa table de chevet, créant un petit halo de lumière. 

Il la regarda s’approcher d’un air svelte et fier, jusqu’à ce qu’elle s’agenouille devant lui, tendant le martinet de ses deux mains. Il le prit en main, laissant les lianes de cuire glissées sur les bras tendus de sa perle. Faisant un pas sur le côté, il la contourna légèrement pour que, d’un geste vif du poignet, le cuire vienne s’imprégner dans la peau de l’épaule nue. Yurushi frissonna à la délectable ouïe de ce son. Le prochain coup fut porté aux côtes de sa Reine, puis au niveau du sein droit. L’univers qui les avait bercés depuis tant d’années reprenaient forme, laissant ainsi place à des adieux dignes de ce nom. Dans ces moments, mélangeant souffrance et douceur, si commun pour eux, le lapin blanc semblait s’être éloigné, faisant taire le temps qui leur était permis. D’un pas lent, les yeux rivés sur sa perle, il tourna autour de celle-ci, laissant les lianes, qui suivaient son mouvement, caressées son corps. Brusquement, il la fouetta sur l’omoplate gauche. Son regard parcourut les douces formes de son dos, avant que le cuir n’aille stimuler la région lombaire de sa perle. Ensuite, il donna un nouveau coup plus près de ces fesses.  

Il se pencha, par la suite, venant déposer ses lèvres chaudes contre la peau délicate du cou la punie, laissant ses longs cheveux la chatouillés. La douce odeur qu’elle dégageait lui emplit les narines, enivrant ses sens au passage. 

- Ne vois-tu pas, ma Reine, les merveilles que nous pouvons accomplir? dit-il dans un chuchotement. 

Sa main libre se glissa dans les cheveux d’or encore un peu humides, allant masser le crâne sous ces caresses. Il tira la tête vers l’arrière de sorte à voir le visage de sa perle. 

- Regarde-moi, dit-il, imprégnant sa mémoire de ces merveilleux yeux aigue marine. 

Deux pierres précieuses qui, à leur simple vue, vous transpercent jusqu’au plus profond de votre âme. Jamais il ne pourrait se lasser de les regarder. Il rapprocha son visage du sien de sorte que ses lèvres glissent sur celles de sa Reine. 

- Retrouvons le chemin qui nous berce de sa fantaisie depuis tant d’années, et embrasse-moi de toute ta gratitude. 


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